Au cœur du Lavaux (patrimoine mondial de l’UNESCO) le Domaine Piccard domine le bassin lémanique et jouit d’un panorama à couper le souffle.
Depuis quatre générations, la famille Piccard cultive cette terre et en vit. La vigne cultivée en biodynamie selon les préceptes de Rudolph Steiner garantit qu’aucune sorte d’engrais (à part du compost biodynamique ou du fumier), d’insecticide ou d’herbicide n’est utilisée. Aussi, pour la nourrir, Jean-Christophe utilise différentes décoctions de plantes. Il la bichonne selon les cycles de la nature, dont le cycle lunaire.
Ainsi, l’Homme, l’animal et la plante retrouvent ensemble au Domaine Piccard une synergie. Il en résulte des vins imprégnés de leur nature vivante, vibrante et intemporelle.
La distillerie La Roja est née de l’envie de bouleverser les traditions et de prendre part à une révolution artisanale et écologique. C’est dans cet esprit que Julien Hottinger et Antoine Delorme proposent des spiritueux distillés à partir de matières premières issues de l’agriculture biologique.
Ils se fournissent chez des producteurs locaux et participent activement aux semis, récoltes ainsi qu’au tri final des produits agricoles utilisés. Ils s’engagent à maintenir une production limitée et contrôlent chaque étape de cette dernière – du grain à la bouteille – afin de garantir une qualité d’exception.
Logée sous les combles du Moulin Bornu – dit le « Milieu du Monde » – La Roja est avant tout une histoire de passion, d’exploration des saveurs et d’une recherche continuelle de l’excellence.
Histoire de famille qui commence au milieu du 19ème siècle avec l’acquisition des premières parcelles du domaine.
Le domaine actuel est le fruit du travail de 5 générations. Paul-Éric Chauvin, actuel vigneron, a reprit le domaine en 1993. Il adhèrera, en 2000, à la charte « Terra Vitis » pour une agriculture raisonnée.
Les 9,5 hectares du domaine, situés sur la commune de Rablay sur Layon (au sud d’Angers), seront labellisés agriculture biologique en 2008.
Situé à 30 km de la mer, sur les hauteurs de Gabian, Verena Wyss et son époux réhabilite, en 1989, ce domaine viticole laissé à l’abandon.
Des grands travaux, de la patience et du courage ont été nécessaire à la réalisation de ce projet.
Aujourd’hui ce sont 14 hectares de vignes qui sont cultivées sur le domaine. On y trouve des cépages languedociens comme la roussanne et le lledoner Pelut mais aussi du viognier, du cabernet sauvignon, du merlot et du petit verdot. Le tout très bien exposé plein sud pour une maturité optimale et dans un cadre respectueux de l’environnement puisque l’entièreté du domaine est certifié bio.
Depuis 2022, c’est Patrick Goma, qui travaillait déjà au domaine qui a reprit les commandes de l’exploitation viticole.
Situé au nord de PEZENAS, au cœur de la vallée de l’Hérault, le vignoble du Clos Roca s’étend sur 18 hectares. Les vignes, cultivées en agriculture biologique, sont dispersées sur les coteaux autour du village de Nizas, sur des sols diversifiés et caillouteux.
Louis Aleman est un autodidacte. Un autodidacte passionné et surdoué qui a tout lâché après avoir succombé au magnifique terroir de Pézenas et ses environs, baigné de chênes verts centenaires, et dont les sols de basalte, les galets et les anciennes terrasses confèrent aux vins du coin ces notes si particulières et cette richesse aromatique.
Vignerons depuis plus de vingt ans, le vignoble est situé en Savoie, dans le parc régional de la Chartreuse. Il est composé de parcelles s’étendant sur les coteaux du Mont Granier, sur les communes de Chapareillan, les Marches et Apremont.
Le passage en agriculture biologique en 2006 est l’aboutissement d’une longue démarche. Au regard de la viticulture conventionnelle, c’est un changement total dans les façons de travailler, un nouveau rapport à la vigne, soumise aux aléas du temps et des saisons.
Malgré ses origines ancestrales helvétiques c’est bien de Bordeaux que nous vient Paul-Henri Soler. Il va tout d’abord suivre une formation en viticulture et en œnologie dans sa région natale avant d’arpenter le vignoble de France et de Suisse.
Après un emploi comme caviste à la Cité des Vins à Genève, il se lance, en 2005, comme encaveur, en achetant des raisins sur pied. S’il ne se revendique d’aucun label, il ne travaille qu’avec des raisins qui n’ont connu aucun pesticide et en évitant lors de ses vinifications tout intrant comme le soufre ou les levures sélectionnées.
Déployés entre Lavaux et la Côte, suspendus entre ciel et terre ou allègrement ancrés dans leur terroir, les vignobles lausannois offrent des panoramas spectaculaires sur le Léman et sur les Alpes.
Un travail au plus près de la nature, en osmose avec l’écologie locale, est de mise dans les cinq domaines de la Ville. La vigne est cultivée avec des méthodes les plus naturelles possible.
Le Château Rochefort et l’Abbaye de Mont sont les deux domaines de la côte labélisés Bio Suisse et Demeter (biodynamie).
Le Mas Foulaquier est un domaine de 15ha situé au nord du Pic Saint-Loup, sur les contreforts cévenols, bénéficiant d’une grande fraîcheur climatique.
Depuis 2006, toute la propriété est conduite en biodynamie. Les vignes n’ont pas vu depuis le moindre traitement chimique. Les vinifications sont soignées avec des apports en soufre limitée, pas de levurage bien entendu, ni filtration : laisser faire la nature et travailler sans filet mais avec maitrise.
Il en résulte des des vins rosés élégants, des blancs d’une étonnante fraîcheur, salins et minéraux et des rouges doux et ronds, aux tanins très soyeux avec beaucoup de gourmandise.
Passionné par les nombreux arômes des vins, HUGO POZZO DI BORGO a passé des mois dans son atelier à mélanger, tester, infuser, jusqu’à trouver une réinterprétation contemporaine du vermouth qu’il est aujourd’hui seul à produire en Suisse.
A ses talents de caviste, le jeune romand a vite ajouté ceux de l’entrepreneur. Autour de son vermouth baptisé ALATA, du nom du village corse de ses ancêtres, il a bâti sa propre entreprise qui gère tout, de la confection du produit jusqu’à sa distribution. Avec une obsession : rendre au vermouth ses lettres de noblesse grâce à une recette unique.
HUGO POZZO DI BORGO a appris le métier de caviste auprès de CHRISTOPHE ABBET, grand nom de la profession, connu comme « le sorcier des liquoreux valaisans ». A ses côtés, il apprend à écrire ses propres recettes et se tourne naturellement vers le vermouth.
